7250 chercheurs et enseignants-chercheurs, répartis dans 138 laboratoires, font d’Université Paris Cité un acteur incontournable de la recherche scientifique à l’échelle nationale et internationale. Si la production intellectuelle des équipes est reconnue et diffusée par des publications dans les revues scientifiques les plus prestigieuses, le transfert des savoirs et des résultats vers l’industrie est également un axe majeur de valorisation de la recherche. Favoriser et accompagner le passage de la recherche fondamentale au sein des laboratoires aux applications concrètes dans le monde de demain, telle est l’ambition portée par Université Paris Cité.

La valorisation de la recherche via la recherche partenariale et le transfert de technologie se structure au sein d’Université Paris Cité.

« L’objectif premier est d’offrir à nos chercheurs un pont avec les industriels et les acteurs économiques afin de rendre leurs résultats de recherche, mais aussi leurs savoirs-faire et leurs procédés, exploitables par la société dans son ensemble » déclare Damien Marchal, Vice-Président Valorisation, en charge du transfert économique de la recherche et des partenariats industriels.

 

Afin de définir la stratégie globale de l’établissement dans ce domaine, un comité de valorisation a été mis en place au sein d’Université Paris Cité. « Il regroupe les vice-doyens ou les chargés de mission dédiés à la valorisation des Facultés et de l’IPGP. Ensemble, nous réfléchissons à la stratégie de valorisation globale de l’établissement qui est ensuite présentée dans les instances élues de l’Université » poursuit-il.

 

Ce comité a aussi pour rôle d’abonder une deuxième structure clef pour le transfert économique et les partenariats industriels : le Guichet Unique. Ce Guichet construit avec les partenaires d’Université Paris Cité que sont le CNRS et l’INSERM, et porté dans sa mise en œuvre par l’ensemble des structures de valorisation sur le périmètre de l’établissement, la Direction Générale Déléguée de la Recherche, International, Valorisation et Ecoles doctorales (DRIVE), le CNRS Innovation, INSERM Transfert, et la SATT ERGANEO, a vocation à rassembler l’ensemble des compétences métiers. Son fonctionnement repose sur de l’écoute, de l’information, du conseil, du montage de dossiers et d’un suivi dans le temps.

 

« L’objectif du Guichet Unique, intégrant nos partenaires historiques, est de fournir un accompagnement personnalisé et toujours plus qualitatif à chaque chercheur sur leur recherche à valeur marchande que celle-ci soit de type partenariale ou avec un transfert de technologie » se félicite-t-il.

 

Pour toute demande relative au Guichet Unique ou pour toute étude de projet de valorisation ou de transfert de technologie, nous vous invitons à contacter Stanislas de Montlebert, chef d’équipe innovation et prématuration au sein d’Université Paris Cité, à l’adresse : partenariat.industriel@u-paris.fr ou innovation.recherche@u-paris.fr

 

Dans le but d’accélérer la structuration de la valorisation de la recherche via les partenariats et le transfert de technologies au sein de l’établissement, Université Paris Cité recevra BPIFrance (www.bpifrance.fr), le 22 octobre prochain à partir de 14h30, lors d’un événement 100% digital. « Celui-ci, nommé DeepTech Tour, a pour vocation d’informer l’ensemble des participants sur les mesures et moyens d’accompagnement mis en place pour transformer des inventions et idées disruptives en projets de startup et de partenariat » conclut Damien Marchal.

 

Programme complet

Découvrez le replay de l’événement.

 

 

Damien Marchal, vice-président Valorisation, en charge du transfert économique de la recherche et des partenariats industriels

À lire aussi

Mesurer la pollution de l’air dans l’écorce des platanes !

Mesurer la pollution de l’air dans l’écorce des platanes !

Le projet de science participative Ecorc’Air propose de collecter des écorces de platanes afin d’établir une cartographie précise de la pollution aux particules fines métalliques liée majoritairement à la circulation automobile, et de mesurer son évolution. Les échantillons sont à envoyer à l’IPGP, où seront faites les analyses magnétiques et chimiques de détection de cette pollution.