Les débouchés

Salaire annuel moyen en sortie d'école

%

Insertion professionnelle*

* dans les 3 mois après l’obtention du diplôme

Enquête sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’année 2022

L’enquête « Premier emploi 2022 » sur l’insertion professionnelle des jeunes diplômés de l’EIDD en 2022 a été réalisée par la Junior EIDD Conseil. La promotion 2022 compte 74 diplômés, ainsi repartis selon les spécialités :

Génie physique : 18 diplômés

Matériaux et Nanotechnologies : 23 diplômés

Systèmes informatiques embarqués : 21 diplômés

Bioinformatique : 12 diplômés

  1. Devenir des diplômés

L’enquête montre clairement que, après les années de ralentissement dû à la pandémie, le marché de l’emploi est à nouveau très porteur pour les jeunes ingénieurs. L’insertion des diplômés EIDD est en forte progression, en ligne avec les résultats nationaux, ce qui confirme la reconnaissance croissante de l’EIDD dans le monde socio-économique.

Six mois après la diplomation, 76% des étudiants sont en contrat CDI/CDD, le CDI étant de loin le plus récurrent, 9% ont décidé d’une poursuite en thèse, bien souvent adossée à un contrat CIFRE, 7% poursuivent dans des masters spécialisés dans les domaines de la finance, de l’habitat éco-responsable, des systèmes embarqués pour le spatial.

Ces données couvrent l’ensemble des diplômés 2022 de l’EIDD. Chaque spécialité de l’école a ses spécificités, qui apparaissent également dans les statistiques sur le devenir des diplômés, avec une part plus importante des thèses en Matériaux et Nanotechnologies, et une part prédominante de CDI en Systèmes informatiques embarqués.

Ces données couvrent l’ensemble des diplômés 2022 de l’EIDD. Chaque spécialité de l’école a ses spécificités, qui apparaissent également dans les statistiques sur le devenir des diplômés, avec une part plus importante des thèses en Matériaux et Nanotechnologies, et une part prédominante de CDI en Systèmes informatiques embarqués.

 

  1. Secteurs d’activité et fonctions exercées

Bien qu’en diminution relative par rapport aux années précédentes, le secteur des services reste le premier employeur des jeunes diplômés, et propose des missions en data science, développement de logiciel, conseil et expertise, informatique embarquée, chargé d’affaires. On a pu constater pour les promotions précédentes qu’un premier emploi dans des sociétés de services était un bon tremplin pour l’intégration rapide chez un grand donneur d’ordres, lui-même client de ces sociétés de services.

La recherche est un débouché essentiel, et s’inscrit naturellement dans l’écosystème de l’EIDD, école interne d’une grande université de recherche intensive comme Université Paris Cité. Cela concerne notamment les diplômés en Matériaux et Nanotechnologies et Bioinformatique.

Le secteur aéronautique/espace est prédominant dans les industries de High Tech et embauche les diplômés notamment des spécialités Génie Physique et Systèmes informatiques embarqués.

Il est important aussi de remarquer que l’EIDD a vu pour la première fois apparaître le secteur médical comme secteur d’activité de ses diplômés en Bioinformatique. Les rapports sur les compétences recherchées dans le secteur médical nous font présager une croissance de la part des diplômés EIDD employés dans ce secteur dans les prochaines années. La labellisation Medicen de cette spécialité pourra contribuer à faire connaitre l’école dans ce secteur.

Il est à noter que des secteurs nouveaux tels que le luxe, la finance, les média sont apparus en 2022.

Les missions offertes pour les quatre spécialités concernent la R&D et le conseil qui pèsent pour 31 % des emplois. L’informatique, développement logiciel et informatique embarquée est sans surprise, le secteur le plus dynamique, les diplômés ayant généralement plusieurs offres de contrat, avant même leur fin d’étude.

 

3 – Taille des entreprises et niveau de rémunération

La répartition par taille d’entreprise est éloquente et apporte la preuve de la progression de l’image de l’école dans le monde socio-économique. Les grands groupes industriels représentent la moitié des postes offerts à nos jeunes diplômés, tandis que les entreprises de taille plus modeste, ETI, PME et TPE, représentent 30 % des postes pourvus.

Le salaire annuel brut moyen (sans prime) est de 39 800 €. On ne constate pas de décalage significatif hommes/femmes.

 

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