Elle est actuellement chercheuse post-doctorante à l’Institut La Personne en Médecine où elle se consacre plus spécifiquement au projet « Revivre  – Enjeux psycho-sociaux des nouveaux traitements pour deux maladies rares : la drépanocytose et la mucoviscidose ».

Ses travaux portent sur la philosophie morale et l’éthique, la bioéthique et l’histoire de ses débats(notamment celui entre éthique de la sacralité de la vie et éthique de la qualité de vie, auquel elle a consacré sa thèse), l’éthique clinique et la consultation d’éthique clinique, les enjeux éthiques, historiques, sociaux et politiques de la fin de vie (définition de la mort, don d’organes, euthanasie, soins palliatifs, arrêt de l’alimentation et de l’hydratation, directives anticipées, etc.).

Elle est membre de l’European Clinical Ethics Network (ECEN) et du Comité d’éthique de la recherche de l’Université de Paris Cité (Cer-U)

Parmi ses publications principales :

-  « Frontières de la vie et limites de la technique : repenser les décisions de fin de vie et la (bio-)éthique », dans Médecine/Sciences, 2022, 38, p. 941-946

- Avec V. García,  « Thinking “quality of life”: from measures to categorizations of human beings », dans From Measuring Rods to DNA Sequencing, sous la dir. d’Ingrid Volery et Marie-Pierre Julien, New York : Palgrave, 2020, p. 97-121

- « Jonathan Glover: pour une reformulation du principe de la sacralité de la vie », dans Canadian Journal of Bioethics/Revue canadienne de bioéthique, vol. 2, 2019,

- « Une nouvelle loi pour la fin de vie? Détour par l’Italie », dans Médecine/Sciences, vol. 35, 2019, p. 258-262,

- Avec V. García,  « Redéfinir la mort : entre nécessités pratiques et discours théoriques », dans Terrain, 62, 2014, p. 24-35.