Événements

Jan
11
sam
Ciné-club Barberousse. Médecine et soin au cinéma : L’Enfant sauvage de François Truffaut @ Cinéma Nouvel Odéon
Jan 11 @ 10 h 30 min – 13 h 30 min

Le ciné-club « Barberousse. Médecine et soin au cinéma » projette L’Enfant sauvage de François Truffaut (1970) samedi 11 janvier à 10h30 au cinéma Nouvel Odéon, 6 rue de l’Ecole de médecine, Paris 6ème

En partenariat avec l’exposition « L’enfance aliénée sous l’œil du docteur Bourneville » au Musée d’Histoire de la Médecine, du 30 octobre 2024 au 25 janvier 2025. https://u-paris.fr/bibliotheques/exposition-photosaintgermain-docteur-bourneville/

Nous en discuterons avec Bernard Andrieu, Professeur de philosophie, spécialiste de la philosophie du corps, de la santé et du sport, directeur de l’Institut des Sciences du sport-santé de Paris (Université Paris Cité).

Le ciné-club « Barberousse. Médecine et soin au cinéma », créé en 2017, s’inscrit dans la démarche critique des humanités en santé. Il sollicite les ressources du cinéma, documentaire et de fiction, pour rendre visibles et sensibles les enjeux psychiques, sociaux, éthiques et politiques du soin aujourd’hui. Les films projetés y rappellent notre vulnérabilité, nos interdépendances et la centralité  des relations et pratiques de soin dans nos vies individuelles et collectives.

Tarif : 7 euros.

Organisation : Céline Lefève (Professeure de philosophie, UMR SPHERE, Université Paris Cité), François Crémieux (directeur général Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille), Jean-Michel Frodon (critique de cinéma, Professeur associé à Sciences Po).

En partenariat avec la revue Esprit.

Jan
30
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Les trajectoires du mourir du plus jeune âge au grand âge au Québec @ Institut La Personne En Médecine . Université Paris Cité. 5 rue Thomas Mann.75013 Paris
Jan 30 @ 18 h 00 min – 20 h 00 min
Les trajectoires du mourir du plus jeune âge au grand âge au Québec @ Institut La Personne En Médecine . Université Paris Cité. 5 rue Thomas Mann.75013 Paris

Avec Sylvie Fortin, professeur d’anthropologie à la l’université de Montréal et au CHU Sainte Justine à Montré

il y a quelques années déjà, le Québec se questionnait sur le « mourir dans la dignité ». Plus près de nous, avec la récente pandémie, mourir s’est avéré d’actualité. Mais au fait, que savons-nous de l’expérience du mourir de jeunes et de moins jeunes et de celle de l’accompagnement par les proches dans un contexte pluriel comme celui de la ville de Montréal ? À partir d’une étude qualitative menée auprès de plus d’une centaine de proches, nous interrogerons les trajectoires du mourir (et d’aide médicale à mourir) de personnes décédées à Montréal. Nous verrons comment le cycle de vie intervient dans ce mourir, tout comme l’accès aux soins (notamment palliatifs) et la relation de soin, les lieux de fin de vie et au final, les éléments qui participent à la « mort bonne » et son contraire.Sylvie Fortin est professeure titulaire au département d’anthropologie de l’Université de Montréal, à la Faculté de médecine (Dép. de pédiatrie) et au Centre de recherche du CHU Ste-Justine. Ses travaux portent notamment sur les défis de la pratique clinique, dont la fin de vie aujourd’hui. Elle a dirigé plusieurs numéros de revues d’anthropologie et de sciences sociales sur ces thèmes, ainsi qu’un ouvrage à paraître (aux Presses de l’Université de Montréal).

Informations/inscriptions : jc.mino475@gmail.com

Fév
6
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5ÈME COLLOQUE VIE PSYCHIQUE À L’HÔPITAL Quels soins ? Quelles limites ?
Fév 6 @ 8 h 45 min – Fév 7 @ 17 h 45 min

Ce 5ème colloque « vie psychique à l’hôpital » a pour vocation, comme les précédents, de réunir les psychologues qui travaillent à l’hôpital général dans les services de soins somatiques afin de leur permettre de partager leurs pratiques cliniques et leurs pratiques de recherche. Mais cela implique aussi d’interroger leurs liens de travail avec les collègues d’autres disciplines. Car l’hôpital est un lieu où l’interdisciplinarité est indispensable en vue de donner les meilleurs soins possibles aux patients.
Mais quels soins ? Ou plus précisément, quels soins psychiques ? S’il ne fait aucun doute que souffrance somatique et souffrance psychique sont étroitement liés dans le parcours d’une maladie, quelle conception avons-nous de ce qui soigne sur le plan psychique ? Est-ce de pouvoir parler de la maladie et des traitements ? Est-ce de pouvoir parler de soi et de sa vie ? Est-ce plutôt, en deçà de la parole, la sollicitude, la bienveillance, l’attention pour le patient qui constituent plus fondamentalement encore le socle sur lequel se construit le soin psychique ? Et dans ce cas, quels liens se tissent entre le patient et le soignant, en particulier lorsque ce dernier est psychologue ? Accompagnement psychologique, relation de transfert, alliance thérapeutique ? Ces notions, comment s’appliquent-elles dans un lieu où le cadre, la demande, le désir sont caractérisés par le vacillement, l’incertitude, la diffraction ?

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