Peu connus mais en augmentation, les lymphomes T cutanés posent encore de nombreux défis thérapeutiques. Le projet RHU SPRINT de la Faculté de Santé, soutenu par l’ANR dans le cadre de France 2030, ambitionne de révolutionner leur traitement grâce à une cible prometteuse : le récepteur CCR8. The Conversation lui consacre un article.

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Un cancer rare en quête de solutions durables

Les lymphomes T cutanés sont des cancers rares qui prennent naissance dans la peau, avec des formes allant de bénignes à agressives. Bien que la majorité des patients vivent avec des symptômes maîtrisés, environ 20 % voient leur maladie évoluer vers des stades avancés, résistants aux traitements actuels. Cette progression illustre la nécessité de nouvelles approches pour surmonter les résistances aux immunothérapies et améliorer la prise en charge sur le long terme.

SPRINT : une stratégie innovante au cœur de la recherche française

Coordonné par l’Université Paris Cité et financé par l’ANR, le projet SPRINT (Synergie Pour Accélérer l’INnovation Thérapeutique) explore une cible inédite : le récepteur CCR8, présent à la surface des cellules tumorales et des lymphocytes T régulateurs. En neutralisant ces cellules qui protègent la tumeur, SPRINT entend renforcer l’immunité antitumorale. Cette stratégie ouvre la voie à des essais cliniques innovants et pourrait bénéficier à d’autres cancers, marquant un tournant majeur dans la lutte contre les lymphomes T cutanés avancés.

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