Agenda

Oct
5
jeu
6ème Colloque du Réseau international Méthodes projectives et psychanalyse @ Dijon + Zoom
Oct 5 @ 9h00 – Oct 6 @ 17h00
6ème Colloque du Réseau international Méthodes projectives et psychanalyse @ Dijon + Zoom

Colloque du Réseau international Méthodes projectives et psychanalyse, avec la participation de la Société du Rorschach et des méthodes projectives de langue française

Thème :
Actualité internationale des méthodes projectives

Dijon
Du 5 au 6 octobre 2023

 

Le normal et le pathologique

La question du normal et du pathologique ne cesse d’interroger le praticien comme le projectiviste. Rappelons que Freud avait fondé la méthode psychanalytique avec l’idée que le pathologique pouvait éclairer le normal. Mais comment qualifier le normal et le pathologique ? Où se trouve la frontière et comment l’identifier ? Se situe-t-on sur un continuum ou au contraire, face à une certaine discontinuité ? Quels critères ou quels indicateurs adopter pour mettre en évidence ce qui relève de psychopathologies de ce qui relève du fonctionnement normal ? Si certains collègues sont très soucieux de ces points de discrimination, établissant des critères cliniques et symptomatiques précis et intangibles, d’autres se refusent à penser le fonctionnement psychique ainsi, abandonnant toute idée de diagnostic, seulement soucieux de repérer les fragilités et les ressources psychiques. Le public, les patients sont également parfois très sensibles à toute idée de pathologisation, vécue comme disqualification des personnes et des modes de vie. Le dialogue sur les troubles est parfois impossible, emportant avec lui toute possibilité de réflexion sur la souffrance psychique individuelle et le malaise des collectivités.

Démarche psychologique et psychopathologique

De fait, à ces questions inhérentes à la démarche psychologie et psychopathologique s’ajoute une interrogation plus anthropologique : les mutations sociétales rapides que traversent toutes les communautés humaines actuellement ont-elles un impact sur l’apparition de nouvelles formes de pathologies ou les formes connues de pathologies évoluent-elles, se modifient-elles sous la pression des mutations sociétales ? Sommes-nous en face de deux phénomènes concomitants ?

Les méthodes projectives

Dans ce cadre, tout en veillant à ne pas confondre la réalité événementielle et la réalité psychique, les méthodes projectives constituent un formidable outil pour tenter d’aborder ces questions. Le Rorschach, le test le plus utilisé au monde, et ce, encore aujourd’hui, parfois utilisé conjointement avec le TAT (ce que recommande l’École française), permet, outre de dégager unéventuel diagnostic, de procéder à une évaluation clinique fine des modalités de fonctionnement psychique. Dans ce cadre, l’évaluation diagnostique et l’appréciation dynamique du fonctionnement psychique tiennent compte de deux hypothèses, à savoir : l’existence d’un socle psychique commun, c’est-à-dire une possible universalité de l’inconscient – au delà des formes qui le construisent -, retrouvée au travers de tendances générales, à l’appui d’études projectives à échantillons conséquents, et celle de la singularité, reflet de la subjectivité de chacun, qui apparait au travers d’études de cas.

Colloque du Réseau international Méthodes projectives et psychanalyse, avec la participation de la Société du Rorschach et des méthodes projectives de langue française

COMITE SCIENTIFIQUE

Elise Pelladeau (Poitiers), Mélanie Jacquot (Strasbourg), Mamoud Benkhelifa (Algérie), Benoît Verdon (Paris), Intissar Sahraoui Bacha (Algérie),

Tevfika Ikiz (Turquie), Deise Matos Amparo (Brésil), Valeria Barberi (Brésil), François-David Camps (Lyon), Barbara Smaniotto (Lyon), Doriana Dipaola (Italie), Tiziana SOLA (Italie), Magali Ravit (Lyon), Sadjia Bentounes (Algérie), Jean-Paul Lawson Laté Mawuli (Togo),
Vincent Quartier (Suisse), Thérèse Ward (Liban), Mariette Lepage (Canada), Simon Flemal (Belgique).

COMITÉ D’ORGANISATION du réseau international des méthodes projectives

Marjorie ROQUES, Daniel DERIVOIS, Alexandra LAURENT Christelle VIODÉ

Héloise HALIDAY, Baptiste LIGNIER,
Anne MASSELIN-DUBOIS, Rose-Angélique BELOT (Besançon), Almudena SANAHUJA (Besançon), Stéphanie N’GUYEN,

Pauline GÉRARD

COMITÉ D’ORGANISATION Bureau de la Société du Rorschach et des Méthodes Projectives de langue française

Présidente d’honneur : Catherine Chabert (Paris)
Président : Pascal Roman (Lausanne, Suisse) Vice-présidentes : Céline Racin (Lyon) et Hélène Suarez-Labat (Paris)
Secrétaire générale: Xanthie Vlachopoulou (Paris), et secrétaires adjoints : Clara Halley (Paris) et Benjamin Bravermann (Paris) Trésorier: Pierre-Justin Chantepie (Lyon). Trésorière adjointe : Sandra Misdrahi
Rédacteur en chef de la revue Psychologie clinique et projective : Marie-Christine Pheulpin (Paris), Hélène Suarez-Labat (Paris), Alex Lefebvre (Bruxelles)

Ce Colloque international du Réseau, qui ambitionne de réunir de nombreux professionnels de différents pays, est une réelle opportunité d’échanger autour des recherches qualitatives dont l’épistémologie est psychanalytique, qui sont développées autour de cette thématique, et permettra de mettre ces questions au travail, mais aussi d’ouvrir plusieurs perspectives de recherche par rapport à l’étude du psychisme humain et à ses références psychanalytiques.

La Commission d’Organisation du Colloque remercie tous les membres du réseau qui ont contribué à la réalisation du colloque et tous les participants.

Le Réseau réunit des chercheurs de onze pays (Algérie, Argentine, Belgique, Brésil, Canada, France, Italie, Liban, Suisse, Togo, Turquie – http://reseaumpp.org)

Tarifs

Tarifs Individuels et professionnels

Tarif pour une journée (hors convention) : 80 €
Tarif pour les deux journées (hors convention) : 120 € Tarif pour une journée (avec convention) : 120 €
Tarif pour les deux journées (avec convention) : 200 €

Tarifs étudiants – Sans emploi

Tarif pour une journée (en visioconférence) : 40 €

Tarif pour les deux journées (en visioconférence) : 60 €

Oct
20
ven
Séminaire Institut du Virtuel : Penser l’IA – Présentation de Sylvain Missonnier @ Esapce Andrée Chedid
Oct 20 @ 10h00 – 12h00
Séminaire Institut du Virtuel : Penser l'IA - Présentation de Sylvain Missonnier @ Esapce Andrée Chedid

Séminaire « Psycho(patho)logie psychanalytique du virtuel quotidien »

Le séminaire de Marion HAZA-PERY, du Pr Sylvain MISSONNIER et de Xanthie VLACHOPOULOU comporte des séances ouvertes à tous avec des conférenciers et des séances réservées aux étudiants inscrits au préalable.

Les séances du séminaire ouvert ont lieu de 10h à 12h à l’Espace Andrée Chedid : 60 rue du Général Leclerc – 92130 Issy-Les-Moulineaux.

Pour assister au séminaire par zoom :

ID Réunion : 2310217762

Code Secret : 30012018

https://u-paris.zoom.us/my/universite?pwd=ZXFSL3NKbDdkRk1xUXd2NUlHWDZiQT09

Séminaire ouvert 2022 – 2024 :

Métavers et IA

 

Quels sont les rapports entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle ? Sont-elles radicalement ennemies ou complémentaires ? Quelles sont les conséquences pour cette nouvelle révolution numérique pour la culture, la médecine, l’enseignement, la psychologie, la psychanalyse, la psycho(patho)logie du virtuel quotidien ? Face à ces questions d’actualité essentielles, le séminaire de l’IVSO se propose d’engager le débat sur les plans éthique, politique, sociologique, éducatif et clinique.

 

Programme 2023-2024

20 octobre 2023 : Penser l’IA – Présentation de Sylvain Missonnier

15 décembre 2023 : IA et jeux vidéo- Présentation d’Arnaud Sylla

5 avril 2024 : Ethique et IA – Présentation d’Elsa Godart

21 juin 2024 : Colloque IVSO Métayers et IA

Nov
17
ven
XVIIIÈME COLLOQUE DU SIICLHA : Un lieu à soi : Habiter avec un handicap @ Université de Rouen Normandie
Nov 17 @ 9h00 – Nov 18 @ 18h00

XVIIIÈME COLLOQUE DU SIICLHA

Thème : un lieu à soi : Habiter avec un handicap

Du 17 novembre au 18 novembre 2023

Nous  vous invitons à nous transmettre vos propositions de communication avant le 15 juin 2023 et à prendre connaissance des modalités de soumission ci-dessous :

En 1929 est publié l’essai de Virginia Woolf A Room of One’s Own, dans lequel elle souligne la nécessité qu’une femme possède une chambre à soi pour « écrire une œuvre de fiction » dans une société où la femme est exclue des lieux du savoir, du pouvoir et même de la simple liberté de marcher sur le tendre gazon de l’université 1.

En 1962, Ed Roberts, étudiant en droit à Berkeley, refuse la chambre d’hôpital qui lui avait été attribuée en raison de son handicap, et revendique pour sa part un lieu à soi comme pour les autres étudiants du campus universitaire. C’est ainsi que débuta l’Independent Living Movement et le mouvement international pour le droit des personnes handicapées.

Les situations de handicap sont doublement paradigmatiques de ce rapport politique du corps à l’espace privé.

En effet, en concordance avec le modèle social du handicap, ce n’est plus la déficience qui crée le handicap mais c’est bien l’environnement qui stigmatise, amplifie voire crée les situations de handicap. Le lieu où l’on habite que ce soit le domicile privé ou un habitat collectif comme une institution est en première ligne.

Pour autant les personnes handicapées ont peu ou prou la possibilité de décider pour elles-mêmes et par elles-mêmes du choix du lieu dans lesquelles elles vivent leur intimité.

Ce lieu de l’intime, du personnel, de l’historique est pourtant essentiel à la construction du sentiment d’identité et du sentiment de sécurité de tout être humain. Il est l’espace où se déploient les liens avec les proches. Il permet la création d’une enveloppe psychique et d’un espace psychique dans lequel se développent des liens émotionnels vivants.

L’architecture peut respecter cet espace psychique, favoriser sa construction ou au contraire empêcher la création harmonieuse de cette enveloppe. L’espace psychique intime sera alors un lieu d’insécurité, l’identité sera menacée par des expériences potentiellement effractives.

L’habitat, la maison, la chambre portent les traces du handicap. Celles des aides techniques et des aménagements nécessaires mais aussi celles de la circulation réelle, symbolique et imaginaire. Des espaces sont permis, d’autres interdits, d’autres enfin surinvestis ou saturés de signes.

Comment la personne en situation de handicap se représente-t-elle et investit-elle cet espace ? Quelles sont les conséquences de ces traces pour ceux qui vivent avec la personne handicapée, parents, conjoints, fratrie, amis ?

L’espace vital peut devenir aussi un lieu de passage des professionnels du soin et de l’accompagnement (auxiliaires de vie, infirmiers, rééducateurs …).

Pour les professionnels, les interventions à domicile sont délicates. L’entrée dans un domicile ne va pas de soi. Elle suppose un positionnement éthique des intervenants autour des questions relatives au respect des personnes, de l’espace privé, de la confidentialité. Qu’en est-il aussi dans les institutions ?

Les nouvelles formes d’habitat collectif remettent en cause les frontières entre domicile et institution.

Ces questions sont déterminantes quant au bien-être des personnes, mais aussi quant aux conditions d’émergence de toute initiative personnelle, de déploiement de toute créativité. Elles concernent la prise en compte inconditionnelle de la vie subjective des personnes, quels que soient leur handicap et leur situation.

1 « Il est indispensable qu’une femme possède quelque argent et une chambre à soi si elle veut écrire une œuvre de fiction…… Il est nécessaire d’avoir cinq cents livres de rente et une chambre dont la porte est pourvue d’une serrure, si l’on veut écrire une œuvre de fiction ou une œuvre poétique. » Ainsi débute et se conclut l’essai de Virginia Woolf « Une chambre a soi » édité en 1929.

AVEC LE SOUTIEN

PARTENAIRES

ORGANISATEURS

Déc
2
sam
10ème colloque BBADOS
Déc 2 Jour entier
10ème colloque BBADOS

Quelle est la lumière qui donne une ombre au Moi ?
Comment la genèse du « Je » est aussi l’ombre d’un « Autre » déjà en devenir ?
Comment cette genèse interne pour une part énigmatique, prend-elle en compte l’ombre des représentations du Moi parental ainsi que son intériorisation ?
Comment, chez les « thérapeutes », ce Moi en devenir peut-il être parfois relégué au second plan au profit d’une quête de l’énigme des enjeux psychiques de ce devenir ?

Le bébé passe ainsi d’un monde anobjectal à un monde objectalisé, soit du sentiment d’être au sentiment d’exister, et dans l’entre-deux il se trouve confronté au pressentiment de l’objet … et de son futur Moi non encore subjectivé.
Pressentiment de l’objet et pressentiment du Moi sont en effet indissociables.
Telle est l’ombre initiale du Moi qui se fonde sur l’investissement des liens avant même le repérage du Moi et de ses objets.
Après une enfance au cours de laquelle l’insouciance de l’enfant doit faire face aux exigences des réalités internes et externes, l’adolescence surgit avec des expressions significatives du type : « je me sens vide », rappelant le danger de la solitude et l’isolement en quête – au minimum – d’une ombre du Moi.
Le langage lui-même est attaqué dans sa fonction de dénomination des affects et des représentations conflictuelles. Cette anesthésie de la parole partagée laisse au Moi peu d’espace pour exister même dans ce qui en serait encore son ombre. Le risque de faire flamber les pulsions menace alors d’induire une désymbolisation au prix d’une confusion entre la réalité et l’imaginaire.
Du temps de la prime enfance à celui de l’adolescence, notre travail ne repose-t-il pas sur l’intérêt accordée à cette ombre et ne consiste-t-il pas à en repérer les contours, à en délier les confusions et à en éclairer les alentours ?
Souhaitons que les interventions de ce colloque nous fournissent un éclairage qui puisse néanmoins conserver … sa propre part d’ombre.

Alain Braconnier et Bernard Golse

 

L’ombre du Moi

 

Plaquette-BBados-2023-3

Déc
15
ven
Séminaire Institut du Virtuel IA et jeux vidéo- Présentation d’Arnaud Sylla @ Espace Andrée Chedid
Déc 15 @ 10h00 – 11h00
Séminaire Institut du Virtuel IA et jeux vidéo- Présentation d’Arnaud Sylla @ Espace Andrée Chedid

Séminaire « Psycho(patho)logie psychanalytique du virtuel quotidien »

Le séminaire de Marion HAZA-PERY, du Pr Sylvain MISSONNIER et de Xanthie VLACHOPOULOU comporte des séances ouvertes à tous avec des conférenciers et des séances réservées aux étudiants inscrits au préalable.

Les séances du séminaire ouvert ont lieu de 10h à 12h à l’Espace Andrée Chedid : 60 rue du Général Leclerc – 92130 Issy-Les-Moulineaux.

Pour assister au séminaire par zoom :

ID Réunion : 2310217762

Code Secret : 30012018

https://u-paris.zoom.us/my/universite?pwd=ZXFSL3NKbDdkRk1xUXd2NUlHWDZiQT09

Séminaire ouvert 2022 – 2024 :

Métavers et IA

 

Quels sont les rapports entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle ? Sont-elles radicalement ennemies ou complémentaires ? Quelles sont les conséquences pour cette nouvelle révolution numérique pour la culture, la médecine, l’enseignement, la psychologie, la psychanalyse, la psycho(patho)logie du virtuel quotidien ? Face à ces questions d’actualité essentielles, le séminaire de l’IVSO se propose d’engager le débat sur les plans éthique, politique, sociologique, éducatif et clinique.

 

Programme 2023-2024

20 octobre 2023 : Penser l’IA – Présentation de Sylvain Missonnier

15 décembre 2023 : IA et jeux vidéo- Présentation d’Arnaud Sylla

5 avril 2023 : Ethique et IA – Présentation d’Elsa Godart

21 juin 2023 : Colloque IVSO Métayers et IA

Jan
20
sam
55ème Journée du Centre Alfred Binet – Images du dehors, images du dedans : rêver, penser, jouer
Jan 20 Jour entier
55ème Journée du Centre Alfred Binet - Images du dehors, images du dedans : rêver, penser, jouer

L’usage intensif des écrans par les enfants et les adolescents nous rend méfiants à l’égard des images et de leur pouvoir addictif. Désormais, dans nos sociétés modernes, les images sont omniprésentes et, comble de l’attractivité, la technologie est parvenue à les animer, à produire des couleurs plus vives que dans la réalité, etc. Sans compter la miniaturisation des écrans qui les rend disponibles à tout instant, contrairement aux personnes de l’entourage.

Avant, c’était celui ou celle qui racontait l’histoire qui rendait vivante l’illustration d’un livre. Les images du dedans se nourrissaient du conteur et du conte. Les images du dehors pouvaient constituer un appui, une réassurance ou être ignorée. Maintenant les images du dehors « vivent » d’elle-même – tant qu’il y a du courant ! Elles sont animées mais vivent-elles pour autant ? L’incarnation du narrateur et l’épaisseur de l’histoire peuvent-elle se réduire à la quantité de pixels ou au nombre d’images par seconde ?

À quoi tient l’attrait exercé par les images ? N’est-ce pas qu’elles offrent à notre esprit des formes perceptives prêtes à l’emploi, qui organisent du dehors ce qui cherche à se figurer au-dedans ? Il en a toujours été ainsi ! Il suffit de voir un bébé boire des yeux le visage de sa mère : il s’y aperçoit, s’y appréhende pourvu qu’elle le regarde de façon vivante. Ce processus d’objectalisation nécessite une respiration. Il procède d’allers/retours entre éprouvés internes et perceptions, qui s’accommodent mal de la saturation des uns ou des autres. La sidération ou la fascination entraineraient une paralysie psychique.

Seulement dedans, aussi dehors ? Telle est la question qui se pose chaque matin quand les images du jour reprennent leurs droits sur celles de la nuit. Dans le rêve, la réalisation hallucinatoire de désir peut se déployer du fait de l’abolition de la différence entre images du dedans et images du dehors. Dans la pensée diurne au contraire, la différence est maintenue au prix d’un travail de renoncement à la satisfaction pleine et immédiate. Seul le jeu permet de suspendre temporairement l’écart entre les unes et les autres : on dirait que c’est pour de vrai… C’est sur ce terrain théorique et clinique que nous essayerons d’étudier la place et le rôle des images dans notre fonctionnement mental.

Inscriptions

FORMAT HYBRIDE : Présentiel /Distanciel*

*sans possibilité d’intervention pour les personnes en visio

Date

  • Samedi 20 Janvier 2024 de 09h00 à 17h30

Coût

  • Employeur : 160€
  • Individuel : 100€
  • Étudiant, retraité, demandeur d’emploi : 50€

Programme

Journée présidée par Alain GIBEAULT

Matinée modérée par Sarah BYDLOWSKI

  • 8h30 : Accueil des participants
  • 9h00 : Introduction, par Sarah BYDLOWSKI
  • 9h15 : Pas sage comme une image : qu’est-ce que l’image pour la psychanalyse ?, par Éric CORBOBESSE
  • 9h45 : Discussion
  • 10h00 : De l’évitement des images au surgissement de l’invisible. Parcours d’un adolescent au CATTP – 13ADO, par Fabrice HAYEM et Isabelle DE CATALOGNE
  • 10h30 : Discussion
  • 10h45 : Pause
  • 11h15 : Et si on éteignait les écrans ? De l’attention conjointe à un jeu partagé, par Isabelle PRAT
  • 11h45 : Discussion
  • 12h00 : Paréidolie et photographie, par Jean-Éric FABRE et Pierre DENIS
  • 12h30 : Discussion
  • 12h45 : Déjeuner libre

Après-midi modérée par Pierre DENIS

  • 14h15 : « Un oiseau blanc dans le blizzard », Une thérapie psychomotrice, par Agnès LATOUR et Orianne LEGRAND
  • 14h45 : Discussion
  • 15h00 : Le surgissement de l’image dans l’analyse avec l’enfant, par Jeanne ORTIZ
  • 15h30 : Discussion
  • 15h45 : Pause
  • 16h00 : La vague : images autour d’un mouvement de groupe, par Hervé CHAPELLIERE
  • 16h30 : Discussion
  • 16h45 : Conclusion, par Alain GIBEAULT
  • 17h00 : Discussion générale
  • 17h30 : Clôture de la journée

Président

  • Alain GIBEAULT (psychanalyste – SPP)

Comité d’organisation

  • Sarah BYDLOWSKI
  • Pierre DENIS

Intervenants

  • Sarah BYDLOWSKI (pédopsychiatre, psychanalyste – SPP)
  • Hervé CHAPELLIERE (psychologue, psychanalyste – SPP)
  • Éric CORBOBESSE (pédopsychiatre, psychanalyste – SPP)
  • Isabelle DE CATALOGNE : scénariste, art-thérapeute
  • Pierre DENIS (psychologue, psychanalyste – SPP)
  • Éric FABRE (photographe)
  • Fabrice HAYEM (psychologue, psychothérapeute)
  • Agnès LATOUR (pédopsychiatre, psychanalyste – SPP institut)
  • Orianne LEGRAND (psychomotricienne)
  • Jeanne ORTIZ (psychologue, psychanalyste – SPP institut)
  • Isabelle PRAT (orthophoniste)
Jan
27
sam
« Les bigarrures de la clinique projective Hommage à Catherine Chabert » @ Paris
Jan 27 Jour entier
« Les bigarrures de la clinique projective Hommage à Catherine Chabert » @ Paris

« Les bigarrures de la clinique projective
Hommage à Catherine Chabert »

Colloque organisé par la Société du Rorschach et le laboratoire PCPP

Avr
5
ven
Séminaire Institut du Virtuel Ethique et IA – Présentation d’Elsa Godart @ Espace Andrée Chedid
Avr 5 @ 10h00 – 12h00
Séminaire Institut du Virtuel Ethique et IA – Présentation d’Elsa Godart @ Espace Andrée Chedid

Séminaire « Psycho(patho)logie psychanalytique du virtuel quotidien »

Le séminaire de Marion HAZA-PERY, du Pr Sylvain MISSONNIER et de Xanthie VLACHOPOULOU comporte des séances ouvertes à tous avec des conférenciers et des séances réservées aux étudiants inscrits au préalable.

Les séances du séminaire ouvert ont lieu de 10h à 12h à l’Espace Andrée Chedid : 60 rue du Général Leclerc – 92130 Issy-Les-Moulineaux.

Pour assister au séminaire par zoom :

ID Réunion : 2310217762

Code Secret : 30012018

https://u-paris.zoom.us/my/universite?pwd=ZXFSL3NKbDdkRk1xUXd2NUlHWDZiQT09

Séminaire ouvert 2022 – 2024 :

Métavers et IA

 

Quels sont les rapports entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle ? Sont-elles radicalement ennemies ou complémentaires ? Quelles sont les conséquences pour cette nouvelle révolution numérique pour la culture, la médecine, l’enseignement, la psychologie, la psychanalyse, la psycho(patho)logie du virtuel quotidien ? Face à ces questions d’actualité essentielles, le séminaire de l’IVSO se propose d’engager le débat sur les plans éthique, politique, sociologique, éducatif et clinique.

 

Programme 2023-2024

20 octobre 2023 : Penser l’IA – Présentation de Sylvain Missonnier

15 décembre 2023 : IA et jeux vidéo- Présentation d’Arnaud Sylla

5 avril 2023 : Ethique et IA – Présentation d’Elsa Godart

21 juin 2023 : Colloque IVSO Métayers et IA

Juin
21
ven
Colloque Institut du Virtuel IA et Metavers @ Espace Andrée Chedid
Juin 21 Jour entier
Colloque Institut du Virtuel IA et Metavers @ Espace Andrée Chedid

Métavers et IA

 

Quels sont les rapports entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle ? Sont-elles radicalement ennemies ou complémentaires ? Quelles sont les conséquences pour cette nouvelle révolution numérique pour la culture, la médecine, l’enseignement, la psychologie, la psychanalyse, la psycho(patho)logie du virtuel quotidien ? Face à ces questions d’actualité essentielles, le séminaire de l’IVSO se propose d’engager le débat sur les plans éthique, politique, sociologique, éducatif et clinique.